Archives de Tag: Cheveux secs

Aroma-Zone déménage !

 

 

Depuis quelques semaines, la boutique Aroma-Zone, paradis de la cosméto bio maison, a déménagé Boulevard Saint-Germain, juste après la station Maubert-Mututalité. Les ateliers restent dans l’ancienne boutique, rue de l’Arbalète.

On y trouve tous les produits (huiles essentielles, absolues, beurres végétaux, fragrances, huiles végétales,  crèmes neutres, contenants…) dans un espace plus grand, très lumineux et très agréable.

Parfait pour se préparer ses huiles cheveux maison, son beurre de karité perso, ses crèmes visage, ses gommages…

Boutique Aroma-Zone
40 boulevard Saint Germain
75005 Paris
Tél.  01 43 37 69 17
Horaires d’ouverture :

De 10h-19h du mardi au jeudi
De 10h- 19h30 le vendredi et samedi

 

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Envies de décembre

Je continue ce petit rendez-vous mensuel instauré par Teddy avec ma (petite ?) liste de décembre. L’occasion aussi de faire un point sur la concrétisation, ou non, des Envies de novembre.

Fond de teint Mat Lumière, Chanel

Risque de craquage : 80 %

Un nouveau fond de teint, maintenant que le hâle de l’été s’en est allé (haha).

Fard à paupières Prussian, Mac

Risque de craquage : 40 %

Je ne sais pas d’où sort cette envie-là, qui est affublée pour l’heure d’un faible risque de concrétisation, justement parce qu’elle vient de nulle part et risque de ne pas résister à un examen approfondi. Mais j’ai envie d’un bleu foncé.

Soin Redken Chemistry

Risque de craquage : 70 %

Découvert sur le blog de Deedee, ce soin répare et restructure les cheveux. Le potentiel de craquage n’est qu’à 70 % car je risque de manquer un peu de temps ce mois-ci, mais je sais que je le testerai. Conclusion : on risque de le retrouver en janvier avec un pourcentage plus élevé…

 

Philtre Légendaire et centenaire, Garancia

Risque de craquage : 50 %

Depuis quelque temps, j’utilise le Pschitt Magique et je suis complètement bluffée par son efficacité. J’envisage donc d’élargir cette découverte à d’autres produits Garancia, et comme j’ai besoin d’une lotion

 

Et que sont devenues les tentations de novembre ?

J’ai trouvé un (même deux) baume(s) à lèvres, j’en reparlerai cette semaine.

J’ai racheté ma crème pour les mains Nuxe, dont le packaging et l’odeur ont changé, c’est encore mieux.

J’ai résisté à l’huile au karité Furterer car j’attends d’avoir vraiment terminé tous mes produits (pas avant 2013 donc), au vernis Chanel parce qu’en ce moment noir c’est noir, à la crème L’Oracle de Lush parce que bon, j’en ai 2 d’ouvertes en ce moment, au masque frais Céréal Killer parce que la dernière fois que je suis passée chez Lush j’ai oublié de l’acheter, mais j’ai craqué pour plein de petites choses hors-liste…



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Moi Jane in the Lush’s Jungle, toi ?



Ne m’avouant jamais vaincue, que ce soit pour une affaire d’après-shampooing ou pour des choses plus fondamentales, j’ai racheté il y a quelque temps un produit que je n’avais pas aimé chez Lush : Jungle. Sa nouvelle présentation y est sans doute pour beaucoup : il s’est longtemps présenté sous la forme d’un bout de savon à la coupe (cf. photo) et désormais il ressemble à feu Babyface, ce qui le rend plus maniable (cf photo bis).

4 years before


Mes cheveux étaient déjà bouclés et secs. A l’époque, j’avais déménagé chez Lush, je testais presque tout (sans aller quand même jusqu’aux shampooings pour cheveux blonds ou gras). Jungle n’a pas transformé l’essai : je l’ai trouvé pénible à utiliser, inefficace, j’avais l’impression d’avoir les cheveux encore plus rêches et le produit s’effritait dans les cheveux à l’application, se rinçait mal, bref, rien pour lui à part son odeur, me suis-je dit.

J’ai donc généreusement offert Jungle à ma mère, qui m’a promis de l’utiliser, mais qui a sans doute trouvé le modus operandi un peu fastidieux elle aussi, puisqu’elle ne s’en est pas beaucoup servi (euphémisme). Jungle a fini sa courte vie sur le rebord de la baignoire, seul.

4 years later

Cherchant quoi acheter et me sentant la témérité d’une Jane sautant de branche en branche dans une jungle victorienne, je glisse un regard vers Jungle, qui sent toujours aussi bon, qui a donc changé de présentation et de prix (forcément, puisqu’il est désormais présenté en « babyface » de 55 g et non plus aux 100g).

Je demande gentiment s’il est toujours aussi nul niveau efficacité. La vendeuse me répond qu’il est quand même a priori conçu pour les cheveux secs (il est plein de beurre de cacao, entre autres choses nourrissantes).

Je me dis que Jungle mérite peut-être une seconde chance et qu’à 4,95 € sa seconde chance ne me coûtera pas trop cher et qu’au pire, ma mère me remerciera de lui offrir un petit Jungle presque neuf.

Sauf que sauf que !

Je fais cette fois-ci tout bien (j’apprends, avec l’âge, à respecter les consignes d’utilisation), je mouille la chose, je la passe sur les cheveux, j’en mets dans les mains, je repasse les mains dans les cheveux pour finir de bien imprégner l’ensemble, je démêle et je laisse quelques minutes. Force est de constater que le peigne glisse tout seul (ce qui n’arrive jamais), que cette odeur très verte (vétiver, cèdre, bois de cèdre, chlorophylle) est très addictive, que le produit se rince très bien et que les cheveux sont tout doux une fois secs.

Ne manque finalement que Tarzan dans cette histoire !

Ingrédients : Beurre de cacao (Theobroma cacao), alcool cétéarylique (et) laurylsulfate de sodium, propylène glycol, extrait d’avocat frais biologique (Persea gratissima), stéarate de glycéryle (et) stéarate de PEG-100, alcool cétéarylique, acide stéarique, parfum, lécithine de soja, figues fraîches (Ficus carica), bananes fraîches bio (Musa paradisiaca), fruits de la passion frais (Passiflora edulis), kumquats frais (Fortunella japonica), bromure de cétrimonium, huile essentielle d’ylang-ylang (Cananga odorata), huile essentielle de vétiver (Vetiveria zizanoides), huile essentielle de cyprès (Cupressus sempervirens), huile essentielle de bois de cèdre (Juniperus virginiana), chlorophylle (CI 75810), limonène*, cinnamal*.
* Naturellement présent dans les huiles essentielles.

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Orofluido, élixir de beauté capillaire

Orofluido… Je n’aime pas tellement le nom, trop de « o » qui au lieu de faire chic, ce qui était sans doute l’intention de départ, finissent par faire cheap, surtout le « o » final,  mais force est de constater que, outre son packaging très réussi, ce produit est vraiment efficace. Cet « élixir de beauté pour les cheveux » est développé par Revlon et mise sur sa facilité d’application (sur cheveux essorés ou secs), sa qualité d’absorption (le produit n’alourdit pas et ne laisse pas de résidus) et son efficacité (quand même !) : « douceur, légèreté et brillance incomparables« , nous promettent les marketeux de chez Revlon.

Côté ingrédients, de l’huile d’argan, riche en vitamine E, qui renforce la fibre ; de l‘huile de Chypre, antioxydant qui combat les radicaux libres et qui adoucit le cheveu et lui apporte du volume ; de l’huile de lin, pleine d’acides gras insaturés qui lisse et referme la cuticule (ce qui favorise la brillance), et des petites cochonneries chimiques. Côté compo, ça donne : cyclopentasiloxane, cyclotetrasiloxane, dimethiconol, argania spinosa kernel oil, cyperus esculentus root oil, parfum, isopropyl palmitate, linum usitatissimum (linseed) seed oil, hydroxyisohexyl 3-cyclohexene carboxaldehyde, CI 47000 (yellow 11), CI 26100 (Red 17).

Une composition pas extra extra avec des silicones en tête de liste et l’hydroxyisohexyl 3-cyclohexene carboxaldehyde, qui provoque chez certains des allergies de contact.

Résultat ?
Promesses tenues, comme dirait l’autre.

La texture est étonnante, pas du tout liquide, et pénètre très bien, sans effectivement laisser le moindre résidu. Les cheveux sont plus doux et plus souples. L’odeur, ambrée-vanillée, est délicieuse, elle est raffinée et pas trop présente sur les cheveux (pas comme certaines odeurs chimico-cheap qui tiennent hélas jusqu’au shampooing d’après).

Conclusion : un gros bémol quand même côté compo, mais cette huile est vraiment top. Son prix ? Une vingtaine d’euros pour le flacon de 100 ml, vendu avec 3 échantillons de 5 ml pour faire découvrir l’huile ou partir en voyage avec…

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Le lissage japonais : 3 ans plus tard

Photo : L’Oréal

Cette semaine, on a vu fleurir dans les magazines (enfin au moins dans Elle et dans Grazia) des articles sur les différents types de lissages. Articles qui ont le mérite d’expliquer les principales différences entre les techniques et de donner quelques adresses mais qui manquent un peu, à mon avis, de recul sur la chose.

Ayant commencé à faire des lissages japonais (Yuko system) il y a maintenant trois ans, je serais pour ma part beaucoup plus mitigée quant à l’état du cheveu après quelques années.

2 ou 3 petites choses à savoir sur le lissage japonais :

-le cheveu doit impérativement être en bonne santé (ne pas avoir été altéré chimiquement par des défrisages, par exemple ; et il faut attendre quelques semaines après avoir fait une couleur ou des mèches).

-le lissage est irréversible

– c’est une technique chère (le prix est proportionnel à la longueur des cheveux, donc impossible de trop savoir à l’avance. Les coiffeurs proposent souvent des « prix » pour reprendre les racines, mais c’est toujours 300 euros minimum).

A la base, mes cheveux sont bouclés et assez secs. Le résultat est effectivement, les premières fois, très naturel : les cheveux sont tout doux et très raides, de vraies baguettes. Voilà qui compense les 5 heures passées au salon, entre applications successives de produits, shampooings et lissages aux plaques céramiques.

Temps gagné au sortir de la douche : ok

Cheveux très raides : ok

Etat du portefeuille : pas ok (même si, au final, cela revient bien moins cher que les brushings réguliers en salon).

D’autant qu’il faut, si on veut un résultat vraiment nickel, y aller tous les 4 mois. Le cheveu est tellement raide (presque trop, cela manque vraiment de mouvement) que la repousse se voit dès 2 mois et demi (chez moi) et il faut reprendre à la pince au bout de 3-4 mois, ce qui se révèle plutôt contraignant, puisqu’on est désormais habituée à zapper l’étape plaques céramiques.

Le prix étant en régulière augmentation dans le salon où j’ai toujours fait mon lissage (Aquableu, rue de Vaugirard, dans le 15e), l’opération revient vite cher, à raison de 340 euros à chaque fois… Tarif « fidélité » qui n’est pas celui que l’on paie la première fois (environ 500 euros pour des cheveux aux épaules, à l’époque).

7 lissages et trois ans plus tard

Les cheveux se révèlent archi secs, pour ne pas dire desséchés, sur les longueurs, et l’effet est bien moins naturel, du coup. Il faudrait couper une bonne partie de la longueur, mais bon, ce n’est pas l’idée, puisque le pitch du lissage japonais, c’est qu’il est censé ne pas abîmer la fibre. Les conseils de Grazia (« côté entretien, un shampooing classique et un soin régénérant de temps en temps suffisent« ), sont évidemment à NE PAS suivre : la coiffeuse m’a toujours recommandé de faire régulièrement de très bons soins, ce que j’ai toujours de toute façon fait (bains d’huile, masques etc). Ce qui ne les a pas empêchés de devenir bien secs, avec une bonne grosse tendance à s’emmêler au niveau de la nuque, depuis au moins un an.

Pourquoi ? Même si les coiffeuses prennent soin d’isoler les longueurs déjà traitées quand elles reprennent les racines, du produit coule toujours un peu, et d’aventure en aventure…

A un moment, j’ai voulu tester le résultat chez Massato, j’ai lu quelque part mais je ne sais plus où que leur technique était vraiment très douce avec les cheveux, mais ils sont vraiment plus chers (650 euros la repousse pour ma longueur de cheveux, qui n’est pas non plus extraordinaire). J’avais rencontré il y a trois ans la personne qui s’occupait des lissages japonais chez eux, et elle est vraiment pro. Mais à raison de trois lissages par an x 650… C’est niet.

Bye-bye Blondie pour ma part, j’ai envie de me revoir avec des cheveux bouclés !

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Quand The Body Shop se met (vraiment) au green

The Body Shop est une marque que j’aime beaucoup depuis des années : après avoir porté comme presque tout le monde White Musk puis testé le stick magique à l’arbre à thé, je me suis dirigée vers les beurres pour le corps et les exfoliants. Pas du tout vers les gammes visage : comme le dit Planète Beauté dans son billet sur la marque, leur service market manque un peu de créativité pour booster les ventes et les produits ne donnent pas vraiment envie.

Mais j’ai toujours regretté, de la part d’une marque qui a à coeur d’utiliser des ingrédients issus du commerce équitable et qui sensibilise régulièrement ses clients à différentes causes, l’état pour le moins limite de certaines compos. Sans aller jusqu’à des produits certifiés, il y a des ingrédients dont on se passerait bien. Ce qui ne m’empêche pas de continuer à les utiliser, mais…

Cette année, The Body Shop a fait des efforts en commençant par sortir une nouvelle gamme bio axée premiers signes de l’âge, certifiée par Ecocert : Nutriganics. La gamme de prix est plutôt abordable, on trouve :

– un nettoyant moussant, une lotion tonique, une crème de jour, une crème de nuit, un contour des yeux, un sérum et un masque.

Côté actifs, on retrouve notamment l’huile de babassu (du Brésil), l’huile de noix de coco (des îles Samoa), l’aloe vera du (Guatemala), l’huile d’olive (d’Italie), des extraits bioogiques de mauve, de lilas d’été et de thym de provenance suisse (ha), le buddléia…

Et la marque sort Rainforest, une gamme complète pour cheveux SANS silicones, sans sulfates, sans colorants et sans parabens : il était temps. Et comme ça fait longtemps qu’on attendait, on a droit, en plus, à 2 brosses et un peigne écologiques. Dispos dans la gamme, 4 shampooings/après-shampooings :

– Rainforest équilibre, pour les cheveux gras (huile de pracaxi, ortie blanche, algues marines, sucre et aloès, côté principes actifs) ;

– Rainforest éclat, pour les cheveux colorés (huile de pracaxi, mûres, huile de graines de lin et sucre) ;

Rainforest nutrition, pour les cheveux secs (huile de pracaxi, huile de noix manketti, miel et sucre) ;

– Rainforest brillance, pour les cheveux ternes (huile de pracaxi, huile de graines de cameline, huile d’olive, sucre et aloès)

Un aussi, beurre capillaire qui fait donc office de masque et qui sent très très bon, dans la gamme Nutrition et un vapo démêlant dans la gamme Eclat.

Les produits existent en taille voyage... Pour avoir traîné 22 kg de bagages dans toute la Crète, c’est bien pratique… Les odeurs sont très agréables.

Enfin, ce qui ne gâche rien, les prix sont très attractifs (8 euros les 400 ml de shampooing ou d’après-shampooing, 10 euros le beurre.)

Bien sûr, je ne suis pas repartie bredouille…

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La fête du cheveu

Vous vous souvenez de la pub Le Petit Marseillais où un enfant devait toucher différents trucs et deviner qui ou quoi se cachait dessous ? Et quand il a eu affaire à une botte de paille, il a répondu très spontanément « c’est maman !« 

J’avais mal au coeur pour la mère à chaque fois.

Il n’empêche que l’été, les cheveux et en particulier les cheveux secs ne sont pas spécialement à la fête, et leur aspect/texture n’est pas sans rappeler le foin séché au soleil. Que faire pour éviter l’assimilation à une graminée ?

Se couvrir


Le chapeau reste la solution idéale pour protéger ces petits fourbes du soleil. Capeline, panama… Foulard même.

Mettre de l’huile

Les bains d’huile à répétition sont le lot des cheveux secs. A appliquer avant shampooing ou toute la nuit, si on dort seule et qu’on n’a pas opté pour du linge de lit Society ou des taies d’oreiller Pierre Frey.

Le must : L’Huile de Palme Leonor GreylBien aussi, et plus abordable/plus polyvalente, l‘Huile Prodigieuse de Nuxe

Utiliser une protection solaire spécifique cheveux

En cas d’exposition, une protection solaire s’impose. L’année dernière, j’avais acheté le Fluide d’été protecteur de René Furterer, KPF 90 (l’indice de protection spécifique des cheveux, le Keratin Protection Factor, breveté par la marque). J’aime bien son côté non gras and waterproof. Enrichi en huile de sésame, il est bien hydratant. En plus, il n’est pas très cher (11 euros et des broutilles).

Et puis le tralala habituel : utiliser un shampooing doux, éviter le sèche-cheveux, les plaques lissantes, s’attacher les cheveux pour limiter leur exposition au soleil…

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