Archives mensuelles : décembre 2010

Karl L. selon Michel H.

Personne n’échappe à l’écriture caricaturale de Michel H. … Même pas Karl ! Un petit mélange entre le Saxon barbare, le chevalier teutonique et le paysan allemand. C’est ça, c’est lui !

Finalement, la critique n’avait pas été si unanime que cela… J’avais raté Naulleau, j’ai bien ri, a posteriori.

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Diamonds are…

 

Il faut absolument que j’aille voir l’expo Bulgari avant le 12/01.

« 125 ans de magnificence italienne », tout est parfaitement résumé dans le titre. Depuis l’arrivée à Rome de Sotirio Bulgari, originaire de Grèce, jusqu’aux collections actuelles au design plus « bidimensionnel » qu’autrefois, en passant par les fastes de la Dolce Vita, l’exubérance créative des années 70 et l’évocation des modèles iconiques… L’exposition est l’occasion de plonger dans l’histoire de la célèbre maison de la Via Condotti.

La rétrospective permet aussi de découvrir l’exceptionnelle collection d’Elizabeth Taylor. Richard Burton avait coutume de dire : « le seul mot d’italien qu’Elizabeth connaisse est Bulgari »

En attendant de rencontrer un Burton-version-2011…

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Aroma-Zone déménage !

 

 

Depuis quelques semaines, la boutique Aroma-Zone, paradis de la cosméto bio maison, a déménagé Boulevard Saint-Germain, juste après la station Maubert-Mututalité. Les ateliers restent dans l’ancienne boutique, rue de l’Arbalète.

On y trouve tous les produits (huiles essentielles, absolues, beurres végétaux, fragrances, huiles végétales,  crèmes neutres, contenants…) dans un espace plus grand, très lumineux et très agréable.

Parfait pour se préparer ses huiles cheveux maison, son beurre de karité perso, ses crèmes visage, ses gommages…

Boutique Aroma-Zone
40 boulevard Saint Germain
75005 Paris
Tél.  01 43 37 69 17
Horaires d’ouverture :

De 10h-19h du mardi au jeudi
De 10h- 19h30 le vendredi et samedi

 

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Velours mat de Nars : perfect

Un énième rouge à lèvres rouge, presque le même, mais toujours différent (si si !)… Profitant de la présence d’une conseillère Nars chez Séphora, j’ai acheté ce samedi un crayon à lèvres Velours Mat, un peu dubitative au départ (quelques préjugés sur la tenue, la précision d’application…).

Eh bien, outre les très jolies couleurs et la promesse « mat » respectée, ils tiennent très bien SANS dessécher (ils sont enrichis en vitamine E et en agents émollients). Et je dois dire que zapper l’étape crayon se révèle très pratique, particulièrement lors des retouches !

Le prix est peu ou prou celui d’un rouge à lèvres classique (24 €).

Le souci (prévisible) est que, maintenant, j’ai envie d’en acheter d’autres… Presque les mêmes, mais un peu différents… Forcément !

 

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Blogueuse !

Dimanche dernier, j’ai été voir Blogueuse à la Manufacture des Abbesses avec deux amies.

Du théâtre contemporain ? C’est un fait, il faut que j’élargisse mes goûts artistiques (j’ai souvent tendance à considérer qu’un bon artiste est un artiste mort… oui je sais, ce n’est ni une preuve d’intelligence, ni une preuve d’ouverture), en particulier au théâtre, puisque je vais rarement voir autre chose que du théâtre classique. Il faut que j’accepte que tout le monde n’est pas Musset, mais que les autres font des trucs bien quand même.

Eh bien j’ai été très agréablement surprise par la pièce, bien écrite, et très bien interprétée par trois jeunes comédiennes toutes très douées (rejointes à la fin par un jeune homme), qui sont trois facettes d’un même personnage.

Paola vient de rompre avec son rocker de petit ami (relation qui lui aura au moins valu d’apprendre à distinguer les fans, qui venaient pour la musique, des groupies, qui venaient tenter de lui piquer son mec), et ça va mal. Elle décide de se lancer dans l’écriture d’un blog. On la suit dans ses débuts, ses premiers visiteurs (ses deux meilleurs amis), ses premiers commentaires, les premières requêtes Google sans aucun rapport avec son blog… Et on la voit se transformer petit à petit, prendre plus d’assurance et donner de plus en plus d’importance à son blog…

Le scénario aborde avec finesse le rapport de la blogueuse avec sa vie privée, et les problèmes d’ego qui vont parfois de pair avec le succès (ou l’échec) d’un blog. Et il est vraiment très bien servi par le jeu des trois comédiennes.

La pièce est à l’affiche jusqu’au 29 décembre, je ne peux que vous conseiller d’y aller entre copines !

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Le Pschitt Magique de Garancia : magique, comme son nom l’indique !

Après avoir lu beaucoup d’avis très positifs sur ce produit (en particulier le papier de Teddy, ici, qui a achevé de me convaincre), et comme j’arrivais à expiration de mon nettoyant habituel, je me suis laissée tenter par la célèbre mousse de Garancia.

Garancia, une marque qui repose sur l’association d’actifs botaniques traditionnels et de nouvelles technologies (« L’alchimie botanique du futur »). La marque se positionne à la fois sur un terrain très scientifique (on ne plaisante pas avec les formules, qui font l’objet de nombreux brevets), mais aussi sur celui, plus sensoriel, du rêve et du plaisir d’utilisation avec des noms qui s’inscrivent dans l’univers de la magie et des visuels très soignés.

Revenons donc au Pschitt Magique. Micropeeling sans grains et à l’action biologique, il peut être utilisé tous les jours. Sa formule associe 6 extraits botaniques : l’eau florale d’hamamélis, riche en tanins et flavonoïdes ; l’eau florale de rose, astringente ; l’eau florale de bleuet, décongestionnante et adoucissante ; l’extrait de thé vert, riche en polyphénols ; la pulpe de concombre, aux propriétés décongestionnantes et hydratantes, et de l’extrait de jus de citron frais, tonifiant, astringent et éclaircissant. La formule, sans savon, convient aux peaux sensibles.

On applique le produit, présenté en flacon pompe (un bon point !) et on le laisse agir 30 secondes sur la peau.

Effectivement, ça marche ! Le teint est moins gris, plus lumineux, la peau plus douce. Petit bémol pour moi : l’odeur, dont je ne suis pas fan…

Voilà qui donne en tous cas très envie de tester d’autres petits produits magiques !

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Eau de sourcellerie (parfum- soin aux essences poudrées aromatiques)

Formule ensorcelante 3 en 1 (nourrit, hydrate, gomme)

Diabolique tomate (crème d’eau anti-âge à effet bonne mine)

Pschitt magique

Philtre légendaire et centenaire retrouvé (sérum aux essences magiques « embellisseuses » de teint et embaumantes)

Mystérieux repulpant (sérum concentré anti-âge au venin de serpent)

Abracadabaume Perfect Illusion (actif correcteur de rides et de pores dilatés)

Le prix du Pschitt Magique est d’environ 25 € pour 2 mois d’utilisation.

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Le jour où Nina Simone a arrêté de chanter

Sous la plume de Mohamed Kacimi, Darina Al-Joundi parle de son pays, le Liban, et de la liberté politique, religieuse, sociale, culturelle, amoureuse, sexuelle… Ecrit après le succès de la comédienne au Théâtre d’Avignon, ce livre, en peu de mots, raconte l’histoire du Liban contemporain et de la vie quotidienne d’une femme élevée par un père aux idées profondément libertaires, bien peu en phase avec la réalité politique du Liban d’alors. Le lecteur se rend compte de ce décalage dès les premières pages. Le récit s’ouvre en effet sur la scène d’enterrement de ce père adoré, et Darina tente de faire respecter ses dernières volontés : « Ma fille, fais gaffe à ce que ces chiens ne mettent pas du Coran le jour de ma mort », en passant Nina Simone à la place, ce qui, évidemment, ne se révèle pas du goût de tout le monde… Et Darina Al-Joundi entraîne ensuite le lecteur dans son enfance, son adolescence et sa vie, faite de violence, de haine et d’excès. Quelle réponse apporte la société à son refus affiché des règles ?

J’ai acheté ce livre un peu par hasard, après m’être souvenue d’une critique entendue il y a longtemps sur son triomphe à Avignon. Facile et rapide à lire, Le jour où Nina Simone a cessé de chanter a été l’occasion de découvrir une réalité que je connaissais jusqu’à présent assez mal, et de la manière la plus intéressante qui soit : en plongeant dans le quotidien et dans les choix d’une femme en décalage absolu avec les convenances sociales et religieuses, qui ne nous épargne rien de ses excès (sexe, drogue, alcool, violence…) qu’elle raconte de manière presque impudique… Mais sans jamais sombrer dans la caricature : du début à la fin, cette petite fille qui mordait tout le monde, et surtout sa soeur, reste très attachante.

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